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En compagnie de Lisa Sautron lors de la fête à la fraise de Sainte Bazeille.
PROLOGUE
Cette pièce de theâtre est traditionellement attribuée à un auteur grec, Gonphédon, qui naquit à Athènes en 412 av JC. Et moi, j'ai eu la chance de la retrouver dans une boite en fer blanc, rouillée par les siècles, murées dans ma cave, partie du sous-sol qui s'est effondrée par une longue nuit d'orage. Comme si cette boite et le destin m'attendaient alors que tous croyaient cette pièce perdue...
Gonphédon fut donc un contemporain et un concitoyen de Platon puisque celui-ci mourut en 349, c'est à dire deux ans après celui dont on dit qu'il fut également parent. Ce maudit sorcier descendait également de Caudros. Mais Gonphédon ne suivit pas exactement la même carrière et bien qu'ayant un assez bon talent d'écrivain, ce talent ne fut pas spécialement reconnu comme tel et l'auteur de cette pièce fut plutôt révéré dans l'histoire pour les arts interdits qu'il pratiqua. Vers cinq ans, en compagnie de Platon, il rencontra Socrate mais son parent n'en eu pas la même impression que lui. Il fut écoeuré par toutes les vertus, toutes les réformes molles et sans vigueur ainsi que par la vaine morale des anciens. Il préféra à cela, une force directe et puissante, un état centralisé qui ordonne et qui planifie autant les récoltes que les affaires sociales. Il avait impérativement besoin d'une armée de combattants et de serviteurs aveugles pour mettre ses projets à exécution. Il s'en fallu de peu qu'il ne réussisse, profitant de la guerre de Corinthe vers 394. Il s'enfuit donc en Egypte en 389 où il rentre également en contact avec des prêtres du culte de Sothos.Il revient en Grèce ou il retente une nouvelle aventure mais il est pris et condamné à la cigue. Tout ceux qui l'auront touché mouriront prématurément, autant les soldats que les gardes. Le contact avec les morts propage d'innombrables maladies. Tous seront brûlés...
LE FEU D'ATHENA
PREMIER ACTE, PREMIERE SCENE GONPHEDON, EUTHYMENE. (Sur un chemin délabré, serpentant dans une forêt de Malte et conduisant à un vieux cimetière abandonné...)
GONPHEDON (D'un air tout à fait charmé.)
Dis-moi, très cher Euthymène... As-tu déjà entendu parler de Prométhéos ? De cette histoire, il fut en peine... N'est-ce pas à cause d'un simple sac d'os ?
EUTHYMENE (En se posant la question à lui-même sur un air réfléchi.)
Euh...Et bien, non, je ne pense vraiment pas... Mais... Je suis si jeune ma foi... Dis-moi qui est ce Prométhéos ? Qu'elle est donc cette histoire de sac d'os ?
GONPHEDON ( En prenant une inspiration.)
Alors laisse-moi te raconter son histoire... Il y à bien des siècles de cela ou n'existaient pas les miroirs... Ni toi, ni moi n'étaient sur cette abominable terre ! Prométhéos à rendu les dieux venus de l'enfer... Vraiment fort mécontents et ils l'ont puni... Mais ce ne fut vraiment pas la dernière péripétie !
EUTHYMENE (De plus en plus curieux.)
Mais dis-moi qu'ont-ils bien pu lui faire ? Ces fameux dieux venus de l'enfer ! Continue car je sens mon corps se glacer ! A ses parents, ont-ils rendus un corps ensanglanté ?
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En compagnie de Lulu lors de l'émission "Midi en France" a Agen.
PROLOGUE
Cette infâme pièce de théâtre à été retrouvée par le plus grand hasard par l'un des habitants de la ville de Zurrieq sur la petite île de Malte, enfermée à l'intérieur d'un coffre poussiéreux, cachée dans le plancher du grenier d'une ancienne maison de Gozo dont il fit l'acquisition pour la restaurer. La lecture de la pièce le retourna. Il tomba malade et décéda quelques temps plus tard. Nul ne sait qui l'a écrite, nul ne sait qui l'a mise là, il y à fort longtemps... Quoi qu'il en soit, je vous le dis, cette pièce de théâtre changera votre vie...
LA PESTE DE SCYLLA
PREMIER ACTE, PREMIERE SCENE GYRONTON, PARMENIDES, ZUES. (Pendant l'antiquité, dans la ville grecque, de Gygantia, quelque part sur l'île de Gozo.)
GYRONTON (Errant dans la rue en pleurant.)
Elle s'est endormie aux pieds de l'eau, ma belle Scylla... Que n'aurais-je pas fait pour elle ici bas !
PARMENIDES
Que t'arrive-til de si malheureux ? Quelle tête fais-tu Quel est cet air affreux ? Ton visage me semble fade et sourie dangereusement, Ne peux-tu le faire travailler autrement ?
GYRONTON (Se rapprochant de son ami.)
Je vais te raconter, Ce qu'il m'est arrivé... Il y à fort longtemps, J'épousais Scylla par grands vents...
PARMENIDES (Sur un ton amical)
Je me souviens de cette grande journée... Mon esprit en est encore tout émoustillé ! Il y avait effectivement foule, ce jour la... Prêtres, nobles, marchands, populace et Scylla !
GYRONTON (Regardant son ami d'un air triste.)
Ce jour là, la douceur des prés... S'alliait à la blondeur des blés ! Elle mit un anneau à mon doigt... Et je lui donnais bague dans l'église Saint-Eloi ! Je lui jurais par-dessus tout fidélité... Lui promettant bien sur de la protéger !
PARMENIDES (Sur un ton amical.)
Cette époque est bien loin ma foi... Mais elle est vivace dans ma mémoire à moi ! Ce jour là mon bon Gyronton... Est celui que nous ayons eu de plus bon ! ZUES (Sur un ton tout aussi amical.)
Bien le bonjour mes amis... Je suis content de vous voir aujourd'hui ! Que vous arrive-t-il de si malheureux ? Quelle tête faites-vous quels sont ces airs affreux ? GYRONTON (Saluant son ami.) Et bien mon cher ami Zuès ! Je contais à Parménidès... Que dans ma jeunesse il m'arriva... Un jour d'épouser la belle Scylla ! ZUES (Levant les mains au ciel.) Tu sais je connais ton histoire... Et il m'arrive d'y penser certains soirs ! Mais hélas telles sont les choses... Et il nous faut quitter cet air morose !
(Les trois amis continuent leur chemin et sortent de la ville...)
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PREMIER ACTE, PREMIERE SCENE STALIONA, EURIPINE, ORGIA. (Sur la mythique île de Lesbos, dans le luxurieux jardin du temple de la déesse Fauna. Deux prêtresses du temple entourent et soutiennent Staliona, la grande maîtresse de ce lieu...)
STALIONA (En marchant doucement.)
Ma chère et tendre Euripine Ma bien aimée Orgia, J'aimerais attirer votre attention, Car de l'éternité je n'ai don, Vous êtes toutes deux très malines, Vous êtes intelligentes mais voilà, Seules l'une d'entre vous me succèdera Mais je n'arrive pas à décider laquelle le fera !
ORGIA (En tournant sa tête vers la grande maîtresse.)
Grande maîtresse de Fauna, Nous ne le savons que trop bien, Tout notre problème est là, Et chacune d'entre nous veut faire de ce temple le sien !
STALIONA (En parlant d'une voix éraillée et triste.)
Je le sais, je me fais vieille, Je sens poindre ce jour sans nul autre pareil, Ou j'irais rejoindre toutes les divinités, Et que l'une d'entre vous viendra me succéder !
EURIPINE (En tournant sa tête vers la grande maîtresse.)
Grande maîtresse de Fauna, Je pense que la déesse m'a bien inspirée, Alors, j'aimerais vous soumettre Staliona, Ce judicieux conseil dont j'ai rêvé. La déesse m'a proposé cela : Puisque vous n'arrivez pas à vous décider, Que le cortège des novices acclame notre aura ! L'élue devra alors bien pouvoir diriger.
STALIONA (En parlant toujours d'une voix éraillée.)
Je pense que la déesse t'a fort bien conseillée... Les novices et les prêtresses pourront donc acclamer, Celles d'entre vous deux qu'elles voudront pour me succéder.
ORGIA (En jetant un regard glacial vers Euripine.)
Grande maîtresse de Fauna, Etes-vous sûr qu'il s'agisse d'une bonne idée, Ne serais-ce pas préférable voilà, De demander aux augures notre destinée ?
STALIONA (En parlant toujours d'une voix éraillée.)
Mais les nôtres me sont toujours préférables aux augures ! Regardez-les, avec leur fière allure, Ce ne sont que de vieilles pies insignifiantes, Vociférant des paroles délirantes, J'ai raison de choisir la justesse, Et de donner ordre et justice aux prêtresses !
EURIPINE (En tournant la tête vers la grande maîtresse et en la baissant légèrement.)
Grande maîtresse de Fauna ! Votre décision est sage et nous honore, La clameur des prêtresses nous désignera, Celle qui vous succèdera haut et fort !
STALIONA (Se sentant soudainement fatiguée.)
Mes amies arêtons-nous sur ce banc, La vieillesse ne me fait pas de traintement ! J'ai de plus en plus de mal à marcher, Et cela rien ne peut le corriger ! Je vous laisse dans la paix de Fauna, Faites savoir que je demande la novice Imelda... De manière à ce quelle vienne à moi ! (Euripine et Orgia s'inclinent devant la grande maîtressedu temple de Fauna et s'en vont chacune de leur côté, l'une à gauche, l'autre à droite.) ORGIA
(Elle s'arrête une cinquantaine de pas plus loin et se retourne pour épier Staliona derrière un gros tronc d'arbre.)
Par tous les plus grands malheurs de ma race, Il faut que mon destin de grande maîtresse se fasse ! Je vais aller voir ce terrible et maudit sac d'os, Cet augure qui ose se nommer Setrodos !
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Cette pièce de théâtre à été écrite le 31 Juillet 1565 par le chevalier de Larrivière sur la petite île de Malte à l'époque où elle-ci résistait bravement aux turcs. Non par le fils, qui fut exécuté par Mustapha, le plus lâche des Turcs, mais par son père Galéas qui ne put se résoudre à la disparition de son rejeton et de sa bien aimée. Dès le printemps, le grand maître de l'ordre de Malte, Jean de La Valette Parisot demanda des renforts au vice roi de Sicile, Don Garcia. Le 15 MAI, la flotte Turque se prépare à envahir l'île par le nord. Deux cent navires couvrent l'horizon. Trente mille hommes débarquent munis d'une artillerie réputée pour être la meilleure de l'époque. Le désaccord entre le pacha Mustapha et le gendre du sultan, un certain Piali, qui ne peuvent pas se voir en peinture. Ils font l'erreur de s'attaquer à Saint-Elme, le point d'appui le plus fort de toute l'île. Cela leur coûte cher en temps et en hommes car les chevaliers chrétiens font des sorties et des ravages dans leurs rangs. Mais les batteries Turques sont destructrices et Saint-Helme finit par tomber au bout d'un mois de résistance acharnée, le 23 JUIN. Le 9 JUILLET, six cent chevaliers chrétiens débarquent en renfort pour affronter les turcs, ils sont suivis, le 7 SEPTEMBRE, par mille autres combattants. Les armées Turques n'ayant pas pris l'île durant le printemps, ni l'été, Piali ordonne aux bateaux de quitter l'île avant la mauvaise saison et ses horribles vents. Alors, elles rembarquent. Mais l'armée Turque fait volte-face et redébarque ses hommes sur la plage. Les chevaliers chrétiens les surprennent et les massacrent. Pendant longtemps, la mer rendra des centaines de cadavres...
LA MORT D'ISOLDA
PREMIER ACTE, PREMIERE SCENE ISOLDA, YVOD, VISSELMORT, GALEAS. (Dans la chambre d'Isolda, enfermée dans le noir...)
ISOLDA (Sur son lit, mourante. Elle parle doucement.)
Que de ténèbres envahissent mon esprit ! Elles sont là et m'attendent dans la nuit, Elles traquent mon espoir, Elles font surgir mon désespoir,
Un temps.
Un sentiment étrange me fait ainsi soupirer, Alors que la nuit est maintenant tombée, Il suffit de me regarder vraiment, Pour constater de visu que tout fout le camp !
YVOD (Rentrant dans sa chambre et arrivant auprès d'elle, il s'agenouille.)
Que te voilà ma douce aimée ? Au terme de cette vie effrénée ! Tu connais en moi mon coeur ardent et passioné.
Un temps.
Jamais tu ne me quitteras, Ou j'irais te rejoindre dans tes bras ! Chaîne aux pieds mon corps t'imitera.
VISSELMORT (Voilà qu'apparaît ainsi devant nos deux amis éberlués, un grand faucheur squelettique.)
Je suis l'envoyé du Seigneur, Et des corps, je suis le faucheur, Quelle est donc cette plainte insipide ? Laisse ton amie aller dans le vide,
Un temps.
Le sang sur ma faux est celui de la mort, Je vais ou je peux raflant les faibles et les forts.
YVOD (Effrayé.)
Mais qui es-tu, vile créature ? Hideuse chose en robe de bure...
VISSELMORT (D'un ton arrogant.)
Je me nomme Visselmort. Que tout tes ancêtres ont adulé encore et encore ! Ils ont lutté pour détruire. Pour saccager, brûler et nuire !
YVOD
(Insurgé, se redressant.)
Mes ancêtres étaient chevaliers. Certains même ont été templiers ! Je te somme de retirer tes dires. Ou je te pourfends jusqu'au pire !
VISSELMORT
(D'un ton encore plus arrogant.)
Pauvre mortel que tu es.
De nous deux, tu es le plus laid !
Sache ce que nul Sarrazin n'ignore :
Je suis celui que d'autres sous le nom de Baphomet adorent !
(Quelqu'un frappe à la porte : Toc-toc !)
GALEAS
(D'un ton emphatique pour son fils.)
Tu es là mon enfant unique.
J'ai pour toi un destin héroïque !
Je te savais en présence d'elle.
Mais il faut que tu partes à tire-d'ailes !
IVOD
(Tout triste.)
Que te voici enfin mon père ! Autant que ma douce, j'ai souffert ! Et voici que l'ange de la mort : Sus mal nommé Visselmort...
(Il cherche à le montrer à son père, il tourne la tête et ne voit plus rien en face du lit car la créature à disparue.)
GALEAS
(Sur un air inquiet.)
Que dis-tu mon fils bien aimé ? As-tu autant de délires que ta dulcinée ? Ne vois-tu pas que les Turcs sont à la porte ? Laisse-la et part en armes, je te l'exhorte !
YVOD
(Suppliant son père sur un ton triste.)
Mais père... Je me trouverais plutôt en larmes si je la perds ! Je désire tant rester auprès d'Isolda. Mais ma fois, je ferais ce que tu voudras !
GALEAS
(S'approchant de son fils pour lui prendre les mains.)
Vien mon fils, fais-moi confiance ! Il faut mettre les Turcs en déshérance. Tu dois prendre l'habit de fer, Et avec tes compagnons, les rejeter à la mer !
(Galéas conduit son fils à la porte puis rejoint sa belle fille pour s'agenouiller auprès d'elle.)
YVOD
(Regardant au bout du lit, dans le vide et parlant dans sa barbe.)
Maudit messager de la mort ! Ou que tu sois Visselmort. Je te combattrai encore ! Encore et encore...
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En compagnie d'Ingrid Desjours dans l'émission "Au Field de la nuit."
LA DANSE D'EMPEDOCLE
PREMIER ACTE, PREMIERE SCENE EMPEDOCLE, NAUTICÔS, FULDA. (En Sicile sur les pentes d'un volcan plus ou moins actif...)
EMPEDOCLE
(Se promenant de façon nonchalante. Il parle avec son frère et sa tête fait des allées retour entre le visage de ce dernier et un sol jonché de cailloux.)
J'ai cherché pendant des années, A résoudre le problème de ces cheminées, Voilà qu'au détour de quelques volutes échevelées, J'ai rencontré la muse Letna ma bien aimée... J'admirais la beauté de cette roche basaltique, Les reflets d'argents qu'elle reproduit sur sa face émétique, Puis je l'ai vue errant entre les pierres comme moi, Sublime et superbe dans une robe bleue de soie, La muse volète et s'écoule en immenses cascades, Libre elle peut voyager au loin, par monts et par vaux, J'ai continué à la regarder mon c½ur empli d'émaux
Un temps.
Dans la réalité Letna est l'amour de mes pensées, Elle est d'un bleu pour lequel je pourrais me noyer, Sache qu'elle me parle réellement tous les jours, Du fonctionnement de cette forge sans détours, Je suis lamentablement tombé amoureux,
Encore un temps.
Et me voilà penchant sur ses cheveux bleus, A lui demander quelques indélicatesses, Alors qu'elle ne veut que devenir ma maîtresse...
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